César a été clément avec la plupart des défenseurs d'Alésia : après la reddition de Vercingétorix, Arvernes et Eduens ont pu rentrer chez eux sans être inquiétés. Seuls les autres défenseurs ont été réduits en esclavage et donnés à des légionnaires. C'est, bien sûr, cruel et dégradant, mais les usages de l'époque auraient plutôt voulu qu'ils soient tous exécutés.

Le général romain espérait mettre fin à la révolte des peuples gaulois avec la capture de Vercingétorix mais il n'en a rien été : des résistances sporadiques ont continué. Les derniers tenants de l'indépendance se sont finalement retrouvés assiégés à Uxellodunum, dans le Quercy. Ils ont dû se rendre par manque d'eau.

César a été sans pitié avec eux et leur a infligé une peine pire que la mort. Il a fait trancher les mains de tous les défenseurs. Cette fois, les soulèvements de tribus ont cessé pour de bon.